Cass. crim., 16 nov. 2011, n° 10-87866

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Professeur à l’Université Montesquieu Bordeaux IV

L’arrêt de la chambre criminelle de la Cour de cassation rendu le 16 novembre 2011 mérite d’être souligné comme l’un de ceux participants à la précision des biens sur lesquels peut porter l’abus de confiance. La chambre criminelle y pose en effet dans un motif de principe sous le visa de l’article 314-1 du Code pénal que ce texte s’applique à un bien quelconque, susceptible d’appropriation. L’arrêt permet ainsi de préciser utilement l’objet de l’abus de confiance en venant restreindre la solution posée par un arrêt du 14 novembre 2000 (Bull 338) qui avait le premier affirmé que les dispositions de l’article 314-1 C. pén. s’appliquent à un bien quelconque et non pas seulement à un bien corporel.

Lire l’arrêt…

Pour aller plus loin:

RPDP 2011, p. 914 et s., obs. V. Malabat

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